Vincent Vanderbecken, paysagiste belge, a mis au point avec ses collègues Christophe Spehar, paysagiste également, et Thomas Blangille, agronome, une toile végétale : Vertical Ecosystem.
« Cette toile permet au système racinaire des plantes de s’auto-protéger, commence-t-il, dans une interview accordée au journal Le Soir. De ce fait, on a des plantes qui résistent au gel, à la neige ou aux fortes chaleurs. (…) Elles sont soumises à des conditions extrêmes et pourtant, elles résistent ! ». Vincent Vanderbecken a travaillé aux côtés de Patrick Blanc, à l’origine des murs végétaux, dont il s’estinspiré mais en tachant d’apporter des améliorations. « Le mur végétal tel qu’on le connaît aujourd’hui a mauvaise presse, et à juste titre d’ailleurs, puisqu’on s’est rendu compte que des complications existent avec le temps et que les plantes meurent après six ou sept ans. Le système que nous avons mis au point à Gembloux, permettra de bombarder de semences un substrat facile à placer et qui peut vivre partout… ». Jusqu’ici, l’entreprise n’a installé que 86 m² de cette toile, en France et en Belgique à Uccle et à Gembloux. « Mais notre système est promis à un bel avenir car il sera le moins cher sur le marché. Son prix s’étalera de 100 euros à 250 euros du mètre carré avec semences, mais hors placement », affirme Vincent Vanderbeken
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